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    T’as découvert un jeu cool ? Envie d’en parler ? C’est ici…

  • carac

     

    Aujourd'hui je vais vous entretenir d'un Diablo-like, d'un almost-Diablo même développé par Runic Games.

    Alors que la discorde règne dans les rangs de Blizzard Entertainment, certains membre de la mythique équipe décident de faire un gros bras d'honneur et de se barrer de la tempête. Une partie créera un MMORPG gratuit : Guildwars. L'autre s'attèlera à sortir un opus auquel je n'ai pas joué et dont je ne vous parlerai pas : Hellgate London. Après le flop de ce dernier, l'équipe décida de revenir aux fondamentaux et commit Torchlight, un Diablo-like, un bon hack'n'slash comme on n'en avait pas vu depuis Diablo II (ou à la limite Titan Quest).

    Entrons donc dans l'univers de Torchlight. La création de personnage rappelle furieusement Diablo Ier, puisqu'on a le choix entre 3 persos : un guerrier, la brute de base qui tape fort au corps à corps, une archère/fusillère (oui, il y a des armes à feu dans Diablo Torchlight) qui est spécialisée dans l'attaque à distance et un "alchimiste" qui est en fait ni plus ni moins qu'un sorcier. Le petit plus par rapport aux Diablos est la présence à vos coté d'un "pet", un chien ou un chat qui va vous aider dans votre aventure (et servir de mulet aussi)

    carac

     

    Une fois votre perso crée, vous vous retrouvez dans Tristram Torchlight. Là on vous explique, si vous prenez le temps de lire ce que les gens racontent, que la ville est attaquée par des démons créatures sauvage et qu'il faut que vous alliez régler tout ça. Donc, sans plus tarder (vous avez déjà assez perdu de temps à ne pas écouter ce que les PNJ bavent) vous vous dirigez vers ce qui a l'air d'être l'entrée de la mine d'où surgissent toutes ces bestioles dont il va vous falloir... défoncer la gueule, oui. Vous entrez donc dans la catédrale la mine et commencez à pourrir tout ce qui passe devant vous.

    Graphiquement le jeu est correct, sans plus il ne faut pas ici chercher de révolution. Les designer ont prit le parti d'un style cartoon, qui peut faire penser à... WoW, évidemment. Ca peut plaire, comme ne pas plaire mais le jeu reste tout de même très bien réalisé, les ambiances en fonction des niveaux sont superbes et on est très bien immergé dans la chose. Niveau sonore il en va de même. Les musique sont presque du même niveau que celles de Diablo 1er, et à raison puisque c'est la même personne qui a réalisé les BOs des deux jeux.

    Parlons maintenant du système de jeu. Tout d'abord, le joueur moyen de Diablo ne sera absolument pas dépaysé puisque les racourcis sont les mêmes, les commandes aussi : on clique sur le sol pour se déplacer, on clique sur un ennemi pour lui mettre des mandales, on reste appuyé sur MAJ en cliquant pour taper sans bouger, etc. La progression du perso est aussi très classique : à chaque monstre troué on gagne de l'XP qui va permettre de gagner des niveaux. A chaque niveau on gagne 5 point à répartir dans les caractéristiques de base : force, déxtérité, magie et défense. On gagne aussi un point de compétence à mettre dans une des trois branche de sort du héro. Une différence ici toutefois, les compétences ne sont pas disposées en arbre et l'on peut donc acquérir une compétence de haut niveau sans avoir au préalable acheté celles d'avant. On note l'ajout d'un système de rennommée qui va augmenter de façon similaire à l'expèrience : à chaque boss tué, on gagne de la rennomée. à chaque palier franchi, on gagne un point de compétence supplémentaire.

     

    carac

     

    La ville de Tristram Torchlight vous servira de QG. Comme dans Diablo 1er, les PNJ sont tous ici, même si l'on croise de temps en temps un marchand au milieu des monstres. On a donc les marchants habituels : forgeron, magicien et divers,  un PNJ qui va permettre de fusionner les gemmes pour en faire une de niveau supérieur (comme dans devinez quel jeu... Diablo II oui! ), et d'autres.
    Les niveau sont construit comme une descente aux enfer. Tiens ça me rappelle un jeu ça.. Ah ben oui, Diablo 1er. Sauf que là on a une trentaine de niveaux à nettoyer (là où Diablo 1 en proposait 16, plus l'enfer), répartis en groupes de 4 avec une ambiance un décor et des monstres différents pour chaque groupe. On a aussi des portails répartis régulièrement afin de ne pas se retaper tous les niveaux si on meurt. Enfin je dis ça, mais en fait quand on se fait vilement occir on a un triple choix : réscuciter là où l'on a cané moyennant un perte d'XP et de rennomée, réscuciter au début du niveau moyennant une perte de sous, ou réscuciter gratuitement au village. Perso je prends l'option début du niveau et je ne manque jamais de sous.

    Concernant le gameplay, on peut dire sans hésiter que Torchlight a frappé juste. En effet les combats sont dynamiques, frénétiques même et les temps morts sont quasi inexistants. Car même lorsque que notre sac à dos est plein, on peut envoyer notre chien/chat aller vendre le tout pendant que l'on continue à poutrer joyeusement du monstre. Voilà donc un jeu fort jouissif et on ne se lasse pas d'éclater des monstres à tour de bras.

     

    carac

     

    Le seul bémol, et il est quand même de taille, est qu'il n'y a pas de mode multijoueur. Donc non, on ne peut pas trucider de l'horreur entre potes et c'est fort dommage. Toutefois il semblerait que Runic Games ai entendu les plainte et le deuxième opus qui sortira au printemps inclura un mode multijoueur, peut-être massivement.

    En conclusion Diablo Torchlight est un hack'n'slash regroupant ce qui a fait le succès du maître du genre. Les combats sont dynamique, les temps morts quasi-absents, la prise en main rapide et facile (immédiate m^me epour les vétérans de Diablo) et le scénario..; Ah oui tiens, j'ai aps parlé du scénario. Ben heu il doit y en avoir un, on va pas aller dézinguer tous ces monstres sans raison, si? Bon en fait apparemment Torchlight est une exploitation mionère qui récolte de l'ambre, un genre de minerai magique. Malheuresement ce minerai corromp ceux qui restent trop longtemps à son contact. D'où les monstres, d'où l'aventurier qui vient de faire de l'XP et de la thune en leur pétant la tronche.


    Les avis

    Loïc

    Il faut d'abord se mettre une donnée dans la tête : le jeu n'a pas vraiment de très grandes prétentions (il est vendu 15€ à sa sortie), il ne faut donc pas s'attendre à une bombe intersidérale. Et pourtant... On se retrouve aussi vite immergé dedans que par un Diablo, d'ailleurs les similarités ne sont pas que suggérées. On ne peut ne pas voir que les dévelopeurs de Torchlight sont ceux qui ont produit Diablo. Les persos sont les mêmes, les niveaux sont disposés pareil, les commandes et raccourcis sont les mêmes, les PNJ sont similaires, la musique a un air de déjà-entendu. Bref, même si Torchlight n'a évidemment pas la même classe et chef-d'oeuvre-itude que les Diablos, on en est pas loin et l'on prends un plaisir quasi identique à hack'n'slasher les monstres de Torchlight. Bref Torchlight est le parfait jeu pour attendre la sortie de Diablo III.


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  • Darksiders, plus dark, tu meurs !

    C'est en tombant amoureuse de l'artbook Darksiders que j'ai pu connaitre ce jeu vidéo. L'artbook était énorme, bourré de dessins, concept arts, décors, personnages... Le jeu ne pouvait qu'être énorme aussi :D ( CLBDL)

    Bref... Darksiders est un jeu mélant action/combat et phases de reflexion ( fin' pour le moment c'est pas ce qui prédomine xD ) dans un univers postapocalyptique. On joue Guerre, l'un des quatre cavaliers de l'apocalypse.

    Entre le bien et le mal, on doit jouer l'équilibre. Et vous allez vous aimer BORDEL DE MERDE ? Comme vous l'avez deviné, l'équilibre ca se joue a coups de pain dans la gueule, et entre les anges et les démons, la distribution est équilibrée.

    Darksiders, plus dark, tu meurs ! 

    Montez voir si je suis pas en haut de cette tour la bas ?

     

    L'univers est immersif, très beau (pour qui aime le post apo ;) J'suis une grande fan de base... ) et très détaillé. Le jeu est réellement très immersif, dès la fin du générique de début on commence a combattre, et on est ensuite guidé a travers differents evennements... On se promène, un immeuble s'écroule... ou bien d'une fenêtre on peut voir un démon attaquer un hélicoptère etc . Beaucoup de types de créatures differentes, a l'IA bien foutue, des boss assez réguliers.

    On peut pratiquement tout détruire : les humains qui fuient, les voitures, les tonneaux... On peut aussi utiliser les voitures pour les lancer sur nos ennemis. Et c'est franchement jouissif.

    Darksiders, plus dark, tu meurs !

    Ecraser des zombies-piéton, c'est fun !

     

    On a plein d'attaques possibles, de combos, et quelques montures differentes a certains moments du jeu (dada, griffon... )

    Bon en gros Darksiders c'est :

    +

    -Post apo ( si vous aimez pas, passez votre chemin ;p)

    -Inventif, foisonnant, captivant par la richesse de l'envirronnement, son graphisme...

    -Immersif et doté d'une reelle force de mise en scène.

    -

    - Le scénario n'est parfois pas super original a ce qu'il parait. Je pardonne.

    - Un peu dur a prendre en main direct, surtout que l'action commence très très rapidement, et que je suis naze au clavier moi :P Mais bon, on s'habitue hein ;D

    - Ya sans doute une fin T_T'

    Darksiders, plus dark, tu meurs !

    Dernier argument de vente.



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    Les jeupazalacs

     

    RTS sortis en 1994 pour le premier, 1996 pour le deuxième, édités et développés par Blizzard Entertainment.

    Pour comprendre les origines du monde de Warcraft, il convient simplement de savoir que le Titan Sargeras souhaite s'emparer des puissantes énergies du monde d'Azeroth. Pour cela, il doit détruire ses gardiens, l'envahir, et atteindre le Puits d´Éternité.

    Pour ce faire, Sargeras a deux lieutenants : Kil'Jaeden, et Archimonde.

     

    Les préparations

    Durant des millénaires, Draenor était un monde idyllique. Les nobles clans orcs erraient dans les prairies ouvertes et chassaient pour le sport, pendant que les curieux Draenei construisaient des cités rustiques dans d’imposants pics et falaises.

    Parallèlement, dans le monde d'Azeroth, humains, nains et elfes vivaient en quasi-harmonie, les 7 nations humaines prospéraient depuis 1200 ans.

    Sur Draenor, les Orcs furent cependant corrompus par Kil’jaeden, qui pris le contrôle de l'ancien et respecté chamane Ner’zhul... Ils massacrèrent les Draenei.

    Mais la puissance de Ner’zhul était grande, et il repoussa le lieutenant de Sargeras, refusant que son espèce ne se transforme en race sanguinaire.

    Il s'en prit alors à Gul'dan, jeune et ambitieux apprenti de Ner’zhul, qui se laissa faire avec plaisir.

    Pendant ce temps, dans le monde d'Azeroth, agissant de concert avec Kil’jaeden, Sargeras, parvint à manipuler un sorcier humain, Medivh, afin d'ouvrir un portail qui lierait les mondes de Draenor et d'Azeroth.

    Les Orcs pouvaient dès lors envahir Azeroth !

     

    Warcraft I : Orcs & Humans

    Les jeupazalacs

     

    Ayant soif de pouvoir, Gul'dan passa le portail en compagnie d'un chef de guerre nommé Blackhand, à la tête d'un certain nombre de clans orcs :

    • Le clan de Stormreaver est celui de Gul'dan, c'est un clan de puissants sorciers qui serviront leur leader jusqu'à la fin ;
    • Le clan Blackrock, celui de Blackhand, constitue une famille de guerriers fanatisés et courageux ;
    • Le clan de Twilight's Hammer est commandé par un Ogremage. C'est une bande de religieux extrémistes assez doués dans les arts occultes ;
    • Le clan de Black Tooth Grin est composé d'Orcs ayant fait sécession avec le clan Blackrock. Le rituel d'entrée consiste à s'arracher une dent ;
    • Le clan de Bleeding Hollow était l'un des plus puissants sur Draenor. Une partie a décidé de suivre Blackhand en Azeroth. Ils sont la brutalité et la barbarie incarnée ;
    • Le clan de Dragonmaw est spécialisé dans l'élevage de dragons depuis qu'il en a capturé la reine, Alexstrasza ;
    • Le clan de Burning Blade tient plus d’une bande de fauves que du clan organisé. Il s'agit d'une meute sauvage dénuée de chef et tenue vaguement en laisse par les Ogres.

    Les Orcs érigèrent rapidement une forteresse dans la région de Black Morass, à l'est du royaume humain de Stormwind (Hurlevent), riche terre du sud d'Azeroth.

    A force d'escarmouches, les Orcs comprirent que les Humains étaient faibles. Ils lancèrent l'assaut contre la grande citée de Stormwind, et la rasèrent, se rendant ainsi maîtres du sud du continent d'Azeroth.

     

    Warcraft II : Tides of Darkness

    Les jeupazalacs

     

    La guerre était donc consumée entre Orcs et Humains, et la haine aussi. Le peuple de Stormwind s'exila par la mer, à l'ouest du continent, et remonta vers la pieuse Nation de Lordaeron.

    De là, le Seigneur Lothar de Stormwind parvint à rassembler toutes les nations humaines sous la même bannière. Tandis que la horde des Orcs construisait une puissante flotte afin de poursuivre les survivants de la cité détruite, elle ignorait que 7 nations mobilisaient contre elle leurs forces :

    • La nation d'Azeroth : est en réalité le royaume de Stormwind dévasté. Il est devenu fanatisé par la perte de leur capitale, et est constitué de courageux soldats aguerris ;
    • La nation de Lordaeron : dirigée par le bon roi Terenas, nommé chef de l'Alliance, constitue un royaume de très pieux paladins qui infligeront la lumière à la Horde à coup de puissants marteaux du destin dans la gueule ;
    • La nation de Stromgarde : une cité-État de militaires, très aguerris par leurs guerres millénaires contre les Trolls des montagnes ;
    • La nation de Kul Tiras : il s'agit d'une nation insulaire de riches marchands, marins et explorateurs. La puissance de leur flotte sera décisive contre l'avancée des Orcs ;
    • La nation de Gilneas : ces hommes sont isolationistes, et n'aideront l'alliance que marginalement (surtout financièrement) ;
    • La nation de Dalaran : constituée de puissants mages, la ville de Dalaran fera déferler la magie humaine sur la Horde ;
    • La nation d'Alterac : petite communauté montagnarde, la nation d'Alterac n'est pas très puissante, et craint fortement la victoire de la Horde.

    Les orcs, dirigés désormais par le chef de guerre Orgrim Doomhammer, parvinrent à débarquer en Lordaeron à l'ouest, à passer les montagnes naines de Khaz Modan au centre du continent, et arrivèrent même jusqu'aux terres elfes, au nord. Dès lors, Nains et Elfes rejoignirent à leur tour l'Alliance.

    A causes de dissensions, apparues au sein de la Horde, les nations eurent le temps de se réunir et de lancer de puissants assauts. Les Orcs seront finalement repoussés jusqu'à leur monde d'origine : Draenor.

     

    Warcraft II : Beyond The Dark Portal

    Les jeupazalacs

     

    De manière indépendante de Sargeras et ses sbires, Ner'zhul décida que les Orcs ne pouvaient rester en Draenor, et qu'il fallait ouvrir d'autres portes vers d'autres mondes.

    Pour cela, il avait besoin d'un certain nombre d'objets présents dans le monde d'Azeroth tels que le crane de Gul'dan ou le livre de Medivh.

    Son opération fut un succès, les objets furent récupérés. Mais les mages de l'Alliance s'en aperçurent.

    Pour les récupérer, celle-ci dépêcha en Draenor une force expéditionnaire dirigée par de preux héros tels que l'archimage Khadgar, le général Turalyon, le ranger haut-elfe Alleria Windrunner, le nain Kurdran Wildhammer et le vétéran Danath Trollbane.

    La force expéditionnaire se transforma en armée, et celle-ci se mit en marche contre la forteresse de Ner'zhul, située au coeur des terres noires de Draenor. Il s'agissait d'une invasion humaine du monde des Orcs.

    Bien entendu, de nombreux clans de Draenor mirent leurs différends de coté pour repousser l'envahisseur :

    • Le clan Shadowmoon : c'est celui de Ner'zhul, un clan ancien, respecté et craint. Il domine les grandes forteresses de Draenor, et maintient son autorité grace à sa maitrise de la magie noire ;
    • Le clan Warsong est le plus glorieux des clans orcs. Leur entrée dans la bataille est remarquée par leurs cris caractéristiques : ce sont des guerriers nés, qui suivront leur chef, Grom Hellscream, jusqu'à la mort ;
    • Le clan Shattered Hand : pour entrer dans ce clan, il faut se mutiler la main, et la remplacer par une arme. Une belle preuve de loyauté fanatique ;
    • Le clan Bleeding Hollow a été affaibli par l'aventure de Gul'dan en Azeroth, mais reste un clan puissant, quoiqu'à la botte de Ner'zhul ;
    • Le clan Thunderlord est un petit clan organisé autours d'un capitaine charismatique : Fenris le chasseur ;
    • Le clan Laughing Skull est un groupe mené par l'ogremage Mogor. Ils sont fourbes, faux, et excellent dans l'art de l'assassinat ;
    • Le clan Bonechewer est une meute de bêtes cannibales, ils se parent d'ossements, d'organes, de peaux d'ennemis, et son très craints.

     

    *** Les avis ***

     

    • Alex

    Après une présentation pareille, il n'est pas un scoop d'affirmer que j'aime le monde de Warcraft ! En fait, j'ai grandi avec.

    J'ai une préférence pour la partie Beyond the Dark Portal... Que j'ai trouvé particulièrement immersive... Explorer et conquérir à coup de paladins ces terres démoniaques bourrées de squelettes, de sorciers, de démons et de cavaliers de la mort était assez jouissive.

    Malgré des graphismes clairement dépassés (quoi que bons pour l'époque), les deux premiers Warcraft sont des chefs d'œuvre, que tout fan de cet univers se doit de gagner (et d'en chier parce qu'ils sont longs et difficiles :D ).

     

    *** Les notes ***

     

    Lolo
    Titi                   8
    Vince E
    Coco
    Miki
    Alex                10


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  • RTS sorti en 2010 sur PC, développé par Blizzard Entertainement (qui d'autre?).

    On ne présente plus la licence, le premier opus étant devenu LA référence des RTS. Le deuxième était donc fort attendu par les fans et toute personne normalement constituée. Après un développement de 7ans le voici, tout beau tout neuf.

    L'action se situe 4 ans après Broodwar, l'extension du premier opus. Les Protoss luttent pour se remettre de la perte de leur planète natale, Aïur, tout en cherchant le moyen d’intégrer leur société à celle des Templiers noirs de Shakuras. Les Zergs se sont replié sur eux même depuis ces 4 ans, et ce silence inquiète grandement les autres races. Les Terrans pansent leurs blessures sous la main de fer de l'empereur Mengsk. Jim Raynor a prit la tête d'un groupe de resistant au pouvoir de Mengsk et à son arme la plus redoutable : la propagande.

    Le joueur va donc suivre Raynor dans sa lutte contre le dominion de Mengsk lors de l'unique campagne du jeu.

     

    ***Les avis***


    • Lolo

    Etant un fan inconditionnel de Starcraft et de Broodwar, c'est évidemment avec avidité que je me suis jeté sur le jeu dès sa sortie...

    Le menu est beau, clair et efficace. Après s'être loggé sur son compte Battle.net on peut accéder à une partie en 2 cliks. De temps en temps, en fond, un Battlecruiser nous passe par dessus.

    Niveau graphisme, Starcraft II répond à tout ce que j'attendais. Il est beau, je dirai même très beau! Fluide, encore une fois Blizzard a très bien géré l'optimisation. Je n'ai pas une config de tueur mais je joue avec quasi tout à fond et j'ai pas encore constaté le moindre ralentissement :D Les animations des unités sont nickel, le rendu est très dynamique.

    C'est d'ailleur une constante du jeu les unités bien nerveuses, elles répondent au quart de tour. On sent qu'on est pas là pour faire du tourisme, mais pour aller se mettre sur la gueule avec force et joie!

    Niveau gameplay, le vétéran de Starcraft premier que je suis ne se retrouve absolument pas dépaysé. L'interface est quasi-indentique et on reprend ses marques en un rien de temps. La très grosse amélioration au niveau de la gestion des unités est que l'on n'est plus limité à une séléction de 12 grouillots maxi... J'ai pas encore buté sur la limite mais je pense que si il y en a une on a largement de quoi gérer une horde de Zerg sans se casser la tête ;D

    La bande sonore est digne de Blizzard, les sons sont bon et la BO est de toute beauté, la preuve je ne l'ai pas encore désactivé alors qu'en général, une des première chose que je vire d'un jeu, c'est la musique ^^

    En terme de scénario je ne peux pas encore trop m'étendre vu que je n'ai finis que 4 missions de la campagne. Mais l'intrigue s'annonce digne des précédents RTS, avec tout ce dont blizzard nous a habitué depuis War2 niveau background. Le gros ajout de la campagne, c'est son "menu". En effet, au lieu de l'habituel écran de briefing, on se retrouve avec Raynor et les autres perso dans divers endroit (un bar, un pont de Battlecruiser... en fonction de l'avancement de la campagne) et on entre en mode "point&click" façon vieux jeu d'aventure. On est bien sûr pas obligé de cliquer partout, mais ça reste vivement conseillé, ne serait-ce que pour le fun. Entre autre, on peut suivre un dialogue entre Raynor et son acolyte, regarder la TV, changer la musique via un jukebox et même jouer à un jeu d'arcade!

    Pour conclure, même n'ayant pas encore exploré tous les confins de la bête, je conseille très très vivement ce jeu. Il fait totalement honneur à son grand frère et Blizzard a encore (et toujours) sortit un jeu de première qualité. Les 7 ans d'attente sont amplement récompensés par ce bijoux qu'est Wings Of Liberty. Je lui met pas 10 pour la seule raison très personnelle que les Hydras ne sont plus des unités de base, mais des brutes évoluées. Mais rassurons-nous, il y a quand même de quoi envoyer de milliers d'autres bestioles sur la tronche des ennemis de la Reine de Pique

     

    ***Notes***

     

    Lolo             9


    6 commentaires
  •  

    Les jeupazalacs

     

    Jeu sorti en 2003 sur Xbox (ancienne) et développé par BioWare, de style RPG.

    En 3000 avant la bataille de Yavin (épisode IV), une guerre éclate entre la République galactique et le peuple Mandalorien. Tandis que ces derniers gagnent du terrain, la République sollicite l'aide de l'ordre Jedi pour coordonner son armée en déroute. Mais le conseil refuse, et préfère attendre de voir comment vont évoluer les choses...

    Deux Jedi ne l'entendent cependant pas de cette oreille, et décident de partir quand même. Grâce à leur aide, la République gagne la guerre, les Mandaloriens sont exterminés, mais les 2 Jedi ont disparus...

    Au bout de plusieurs années, ils réapparaissent, à la tête d'une flotte Sith gigantesque, et envahissent la république. Cette fois, le Conseil accepte que l'ordre participe à la guerre. Ils envoient un commando tuer l'un des 2 Jedi et... Le jeu commence.

     

    *** Les avis ***

     

    • Alex

    C'est encore avec toute l'originalité qui me caractérise, que je vais qualifier ce jeu de magnifique... Je dis originalité puisque voila quelques unes des récompenses qu'il a reçu :

    • BAFTA Games Awards 2003
      • Prix du jeu de l'année sur Xbox
    • 4e Game Developers Choice Awards
      • Prix du jeu de l'année
      • Prix du meilleur personnage original pour HK-47
      • Prix d'excellence scénaristique pour David Gaider, Drew Karpyshyn, Luke Kristjanson et Peter Thomas
    • 7e Interactive Achievement Awards
      • Prix du meilleur jeu de rôle de l'année sur console
      • Prix du meilleur jeu de rôle de l'année sur ordinateur
      • Prix du meilleur personnage ou développement scénaristique

    Rien que ça... Vous noterez que ces récompenses portent essentiellement sur le scénario et le développement du personnage. Ce n'est pas pour rien, il s'agit effectivement de ses points forts.

    Les jeux Star Wars sont rarement fondamentalement mauvais... Les Jedi Knight sont là pour le montrer. Par contre, ils ne sont jamais réellement exceptionnels non plus. Ici, c'est pourtant le cas : jamais je n'ai été aussi bluffé par l'histoire dans un jeu vidéo. Elle se suit comme un roman, on joue à ce jeu le soir jusqu'au lendemain, un peu comme on le ferait pour un livre qu'on ne peut plus reposer. On est dedans, on veut en savoir plus, toujours plus.

    Bien entendu, il y a des rebondissements, des trahisons... Tout ça tout ça. J'ai eu la chance de découvrir ce jeu avant de lire des critiques dessus. Je ne m'attendais donc à rien d'extraordinaire. Si vous êtes difficiles, vous trouverez le système de combat un peu moyen, et les graphismes légèrement dépassés... Mais bon, c'est du jeu de 2003 en même temps !

    Pour moi, il est au même niveau que Mass Effect : la durée de vie est meilleure, mais les combats sont moins funs.

     

    *** Les notes ***

     

    Yoda              
    Alex             9


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  • Les illustrations

     

    Jeu Xbox 360 sorti en 2007 et développé par BioWare, de style RPG à l'américaine. En 2183, l'humanité tente de se faire une place dans la politique galactique mais elle a du mal à s'imposer face aux autres races qui la juge immature et dangereuse.

    Shepard, le héros, à bord d'un vaisseau issu d'un partenariat Humain-Turien va tenter de donner ses lettres de noblesses à son espèce en sauvant la galaxie.

     

    *** Les avis ***

     

    • Alex

    Bon ben, je commence par ce jeu tout simplement parce que, très original que je suis, je le considère comme un chef d'œuvre.

    L'Histoire est riche et surprenante, plus on avance plus on veut en savoir d'avantage ! La personnalité des personnages est profonde et recherchée. Le tout est présenté comme un film, les visages sont très bien animés et les mouvements sont fluides, naturels. La mise en scène est digne d'un vrai bon film de SF.

    Le point fort du jeu, ce sont les dialogues : jamais cucus, plutôt cools... On a le choix des réponses, comme tout RPG, et certaines répliques sont à mourir de rire.

    Les combats ne sont ni un point fort ni un point faible... Ils sont sympas et pas trop répétitifs, vu l'éventail de capacités et de pouvoirs utilisables. Mais pas transcendants non plus.

    Le point faible, c'est la durée de vie... Mais ça, c'est normal... Plus un jeu est bon, moins on a envie qu'il s'arrête ! Il y a de nombreuses quêtes annexes mais elles sont hélas un peu répétitives... Dommage.

     

    *** Les notes ***

     

    Miki             
    Alex           9


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